CSILC dans les médias

Lutte antiterroriste: deux juges mettent Ottawa en garde

925679-agents-grc-lors-attentat-parlementPar Laura-Julie Perreault, La Presse – Le coordonnateur national de la Coalition pour la surveillance internationale des libertés civiles, Roch Tassé, croit que l’inaction du gouvernement canadien après la commission Arar est une insulte aux citoyens.

«Il y a eu deux commissions [sur les droits de la personne et la sécurité nationale], on a dépensé des millions, mais rien n’a changé. La principale recommandation de la commission Arar était de mettre en place un organisme qui serait le chien de garde de la GRC et des services canadiens de renseignement. Non seulement ça n’a pas été fait, mais il y a aujourd’hui moins de surveillance de leur travail qu’avant», a dit M. Tassé en marge de la conférence. Lire plus

Khadr: Misguided security laws take a human toll

Par Omar Khadr, Ottawa Citizen – “Ten years ago the Canadian government established a judicial inquiry into the case of Maher Arar. That inquiry, over the course of more than two years of ground-breaking work, examined how Canada’s post-Sept. 11 security practices led to serious human rights violations, including torture. At that same time, 10 years ago and far away from a Canadian hearing room, I was mired in a nightmare of injustice, insidiously linked to national security. I have not yet escaped from that nightmare. As Canada once again grapples with concerns about terrorism, my experience stands as a cautionary reminder. Security laws and practices that are excessive, misguided or tainted by prejudice can have a devastating human toll. A conference Wednesday in Ottawa, convened by Amnesty International, the International Civil Liberties Monitoring Group and the University of Ottawa, will reflect on these past 10 years of national security and human rights. I will be watching, hoping that an avenue opens to leave my decade of injustice behind.” Lire plus

Ottawa ne devrait pas criminaliser l’apologie du terrorisme

Par Hélène Buzetti, Le Devoir – “Mme Zwibel fait valoir qu’il serait en outre très difficile de tracer les pourtours du type de discours jugé inacceptable. C’est aussi l’avis de Rock Tassé, le coordonnateur national de la Coalition pour la surveillance internationale des libertés civiles. « Quand le journaliste Glenn Greenwald, celui qui a travaillé avec Edward Snowden, écrit que le Canada doit s’attendre à être une cible puisqu’il est en guerre au Moyen-Orient depuis 13 ans, est-ce que ce serait considéré comme l’apologie du terrorisme ?, demande M. Tassé. Quand quelqu’un tenterait d’expliquer pourquoi des Palestiniens posent des actes terroristes en Israël, est ce que ce serait considéré comme une apologie ? Quand on essayerait de comprendre les causes profondes, les root cause, du terrorisme, est-ce que ce serait de l’apologie ? Et qu’en est-il de la liberté de la presse ? Un article qui tenterait d’expliquer le terrorisme serait-il perçu comme une apologie ? Sans compter que cela pose la question de la définition même de ce qu’est le terrorisme… »” Article seulement accessible aux abonné.es

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