Par Hélène Buzetti, Le Devoir – “Mme Zwibel fait valoir qu’il serait en outre très difficile de tracer les pourtours du type de discours jugé inacceptable. C’est aussi l’avis de Rock Tassé, le coordonnateur national de la Coalition pour la surveillance internationale des libertés civiles. « Quand le journaliste Glenn Greenwald, celui qui a travaillé avec Edward Snowden, écrit que le Canada doit s’attendre à être une cible puisqu’il est en guerre au Moyen-Orient depuis 13 ans, est-ce que ce serait considéré comme l’apologie du terrorisme ?, demande M. Tassé. Quand quelqu’un tenterait d’expliquer pourquoi des Palestiniens posent des actes terroristes en Israël, est ce que ce serait considéré comme une apologie ? Quand on essayerait de comprendre les causes profondes, les root cause, du terrorisme, est-ce que ce serait de l’apologie ? Et qu’en est-il de la liberté de la presse ? Un article qui tenterait d’expliquer le terrorisme serait-il perçu comme une apologie ? Sans compter que cela pose la question de la définition même de ce qu’est le terrorisme… »” Article seulement accessible aux abonné.es
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