NCCM – Les crimes haineux sont définis comme une infraction pénale dans laquelle il y avait un parti pris contre: la race, l’origine nationale ou ethnique, la langue, la couleur, la religion, le sexe, l’âge, la déficience mentale ou physique, l’orientation sexuelle ou tout autre facteur similaire. Une autre catégorie de crimes haineux comprend la propagande haineuse: l’encouragement au génocide et/ou l’incitation publique à la haine et à la promotion volontaire de la haine. Un «incident» haineux est un comportement qui est motivé par des préjugés contre la race de la victime, l’origine nationale ou ethnique, la langue, la couleur, la religion, le sexe, l’âge, la déficience mentale ou physique ou l’orientation sexuelle, mais n’est pas un acte criminel (par exemple des insultes raciales contre une personne ou un groupe). Les informations figurant dans cette carte en ligne sont basées sur les cas de crimes haineux, présumés ou confirmés, et les incidents motivés par la haine, rapportés au NCCM, et/ou signalés à la police et/ou rapportés dans les médias. Tous les cas sont d’abord vérifiés avant d’être affichés. Pour signaler un crime ou d’un incident, cliquez ici et contactez votre service de police local.
Ressources
Surveillance & Society: Surveillance and Security Intelligence after Snowden
Surveillance & Society est une revue internationale, interdisciplinaire, à libre accès et évaluée par des pairs du département de Surveillance Studies de l’Université Queen, à Kingston, Ontario, Canada.
Ils ont publié en 2015, leur édition vol 13, n ° 2 intitulée: Surveillance et renseignement de sécurité après Snowden. La première partie de ce numéro thématique a été éditée par David Murakami Bois et Steve Wright. Ce numéro contient également une section de débat sur le droit et la surveillance, édité par Randy Lippert.
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Dites à Ottawa de mettre en œuvre ce plan de protection de la vie privée
OpenMedia – Le déficit de la vie privée du Canada a de plus en plus des conséquences alarmantes pour notre vie quotidienne. Nous sommes au point de non-retour où nous devons décider entre continuer à évoluer dans une société de la surveillance, ou mettre un frein à l’appareil d’espionnage du gouvernement avant que d’autres vies ne soient ruinées par la divulgation d’information. Le Plan pour la protection de la vie privée de OpenMedia, basée sur les contributions du public, décrit les mesures pour renforcer les garanties de protection de la vie privée pour nous tous et toutes. Le gouvernement a adopté le projet de loi anti-vie privée C-51. Maintenant, nous devons dire aux chefs de parti de # KillC51 et mettre en œuvre cette alternative positive.
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