Le Devoir – Les défenseurs des libertés civiles craignent ce projet de loi. «Ça semble assez inoffensif comme ça, mais ça vient décupler les capacités des instances gouvernementales pour surveiller les individus, résume Roch Tassé, coordonnateur de la Coalition pour la surveillance internationale des libertés civiles. Le niveau de protection de la vie privée est moins élevé dans ce cadre que dans celui qui régit la surveillance des conversations téléphoniques. Cela va permettre à des services de renseignement d’aller à la pêche [à l’information]. On pourrait s’en servir pour espionner des journalistes et leurs sources, pour faire la cartographie des relations d’un individu, et ce, sans supervision judiciaire…» Lire plus
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